L’avenir du notariat le pourquoi

L’avenir du notariat le pourquoi

Le Pourquoi ?

 

Mon modeste esprit , et mes plumes , ne tarissent pas de remercier assez, et très généreusement,

 

L’UINL, qui a eu le grand mérite de déclencher en moi, plus abondamment, le déclic de l’écriture, et de la recherche,   surtout en matière notariale .

 

J’ai, d’abord , écrit – en 1986 – pour le congrès de Montréal , après mon doctorat , et les publications juridiques de 1963 à 1975 , une dizaine d’interventions condensées de dix minutes

Chacune, parmi lesquelles , une sur « les sociétés » et l’autre sur  «  le droit privé » au Maroc.

 

J’ai donné lecture de la première sur «  les sociétés » non sans sueur du front, ni un terrible trac à l’estomac, en me trouvant devant un prestigieux auditoire de ce que je considérais, à jute raison comme « les vétérans » et «  les généraux  »de l’UINL, réunie en ce 27 septembre 1986, en commission spécialisée, sous la présidence d’un pointu eux , et maître de la question , en la personne de Helmut FESSLER.

 

Ses félicitations, formulées – à la fois brièvement et généreusement – à la fin de mon exposé, explosait en moi, l’énergie timidement , compressée, par la honte, dans mon thorax déjà étouffé et étroit.

 

Cette seule générosité d’encouragement, fut doublée à la fois des félicitations du voisin espagnol , président la commission du «  droit privé », qui apprenant de par mon exposé, la citation d’auteurs ayant eu l’historique influence arabo – musulmane d’Andalousie , en la matière , m’a demandé de signer les pages de mon intervention , et de le lui offrir ,pour les besoins de l’histoire de l’institution notariale ibérique .

 

mon élection illico sur le champs en tant que membre du bureau de la C.C.N.I, pour la législature 1986- 1989.

 

Il s’en suivit en suite la production de mon livre

«  les droits réels, sous l’influence de la pratique

Notariale » pour le congrès de l’UINL à Amsterdam en mai 1989 ;

 

Par suite de l’explosion de cet énergie, jalousement dérangeante pour certains détenteurs du pouvoir directionnel du notariat marocain, mon mandat précité, ne fut pas renouvelé pour la CCNI, suivie d’une mise à l’écart pour briser l’élan observé.

 

La mise à l’écart, m’imposait, une massacrante «  paresse »non intellectuelle, mais jalousionnelle, qui voulait que le navire «pirate et corsaire » des « mafieux dirigeants » naviguait tout seul dans le large océan de l’UINL.

 

Je ne disposait – par un hermétique embargo- de 1989 à 1998 , d’aucune documentation, ni d’information , ni encore moins de convocation pour toutes les réunions de l’UINL ; et ce , du fait que tout courrier était EXLUSIVEMENT adressé à l’ étude notariale de « l’intréssé » et

«  concerné ».

 

Je ne suis pas le « paresseux » à me confiner à ce genre de désir de « gel » ;

 

J’ai intégré, alors, en 1994, l’institut international d’histoire du notariat, et sa revue« le gnomon »,

 

pour ne pas sombrer dans l’anonymat oisif intellectuellement notarial, où j’ai trouvé les pages largement ouvertes à mes modestes articles, dans des sujets littéralement inconnus de ses lecteurs.

 

An Congrès d’Argentine , en 1998, auquel , j’ai participé par un modeste livre , m’incitait, par mon élection au conseil permanent , à reprendre calmement et doucement

« le chemin de l’écolier ».

 

Ce chemin , nécessitait à la fois :

« l’écriture des devoirs » et

« le devoir d’assiduité »,

 

Ce, à quoi, je devais sérieusement m’appliquer pour obtenir de «  bonnes notes », suivies, un éventuel

« tableau d’honneur » ; c’est l’ambition toute tracée depuis.

 

1/.- l’écriture des « devoirs »

2/.- l’assiduité :

Au conseil permanent, l’assiduité est de rigueur, quelle que soit là destination et la distance à parcours d’un bout à l’autre du globe terrestre .

 

l’absentéisme, de ce fait , n’est ni admis , ni toléré, ni encore moins permis ; l’absent en est écarté après trois absences, soit mathématiquement parlant : un an et demi.

L’absent de ce fait a déjà perdu le contact depuis deux ans.

Que lui reste donc du » suivi «  des dossiers après deux ans de perte de contact ?

Je me suis efforcé et appliqué en assiduité, sans jamais m’ »absenter » à aucune quelconque session du conseil depuis mon élection en 1998.

 

J’en suis devenu le «  forcené de l’optimisme » de l’UINL, avec objectif de Construire, et ne jamais détruire, chèrement souhaité, voulu, suivi d’une session à l’autre par certaines critiques

Destructrices et dévastatrices, rongées par le calvaire de comparer toujours l’uinl à un tableau

 

–       Congrès d’Athènes

 

Avant de partir au congrès d’Athènes, j’ai rempli mes obligations en « devoirs de vacances ».

 

Le thème choisi et traité etait «  le notariat crée un droit conventionnel, préventif des litiges ».

Je l’ai aménagé en ce titre «  l’intimité de la pratique notarial pour …….. »

 

Encouragé par :

le succès de mon exposé, imprimé en livre et distribué à plus de 800 exemplaires,

le coup de foudre , explosait mon énergie ;

 

j’ai fait – à l’aise – une intervention sur

«  la circulation des actes notariés……

à un auditoire d’une salle archicomble, répondant à des questions en rapports avec :

l’islam modéré, tolérant, par opposition à

l’islam dur, fanatique, ; le terrorisme ( 11 septembre !)

le mariage mixte , la conversion à l’islam, la fraternité des humains….

 

Cette brillante prestation m’ a largement ouvert les portes à :

 

consolider ma candidature au poste de chargé d’affaires de l’UINL aux nations Unies,

en cours d’examen par le comité exécutif et conseil permanent qui se tiendront en janvier 2002 à Mexico city.

 

ouvrir le dialogue et à consolider la fraternité africaine avec les notariats subsahariens,

devant lesquels je suis appelé à intervenir en CAAF , .

 

De succès , en succès , j’ai bénéficié du qualificatif – quelque peu mérité :

«  L’orateur musulman …ange vert du notariat universel. », effacer à tout jamais, beladèn,

surtout 2 mois, après le maudit 11 septembre.

 

A partir de là, je devais –au présent et au futur , faire honneur à la tache qui m’est confiée.

 

Je commençais par être présent à New York, au siège des nations unies,

 

Donner et affirmer en plus des qualificatifs traditionnels du notariat, l’ image du

« notaire ….tout feu ….toute flamme… ».

« notaire …patrimoine universel de l’humanité »

« notaire…juge du maintien de la paix civile  »

«  notariat…véritable et authentique démocratie active et agissante.. »

Les témoignages écrits des départements onusiens , en disent long.

 

MEXICO 2004

 

A ce congrès, j’ai écrit , imprimé et distribué en 500 exemplaires , ma participation

Au thème intitulé :

«  l’impartialité du notaire…garantie de l’ordre contractuel ».

il a obtenu les applaudissement de la commission technique spécialisée.

En participant aux échanges animées dans la salle, ma contribution terminologique et

Phraséologique furent remarquées et retenues.

 

Mes propositions au conseil permanent des jeunes notaires pour faire partie des commissions

Techniques furent retenues avec le maximum de satisfaction des uns et des autres.

 

Pour ma part , mon siège au « Comité Exécutif » est maintenant sur et garanti.

Une heureuse promesse faite au vice président pour l’Afrique , fut tenue.

Le Maroc est maintenant membre à part entière de la CAAF, après la suppression

De la commission de la méditerranée en octobre 2003 au conseil permanent du Québec.

Le Maroc est donc candidat – avec la Costa Rica – à recevoir la tenue de la première session du Conseil Permanent de la législature 2004-2007 .

 

Ce notariat l’organise en février 2005 et le Maroc( pour la prière fois) en Mai 2006.

Il a fallu lui laisser le temps le plus large pour des préparatifs en toute tranquillité.

 

Entre temps, nous marquons notre glorieuse entrée à la CAAF , aussi bien par :

la participation en novembre 2004 au congrès des notariats africains à Libreville au Gabon

la tenue en Mai 2005 à FES, de la réunion de la CAAF.

 

Celle-ci a été honorée par la présence du 5 au 8 mai 2005, du Professeur Giancarlo LAURINI, président en exercice de l’UINL, pour la législature en cours.

 

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