L E R A T T A C H E M E N T
Le Maroc du XX° siècle a jeté les bases du modernisme fondé sur :
* La liberté économique des étrangers ( portes ouvertes)
* Garantie d’une justice ( non religieuse)
* Bénéfice de référence à leur loi nationale en matière de
statut personnel et successoral.
Ainsi le législateur du 12 août 1913 sur le Dahir de la condition civile des étrangers au Maroc , avait des obligations qui découlaient des traités et engagements internationaux qui limitaient sa pleine liberté de légiférer à sa guise , un système plus favorable aux étrangers , qu’à l’ordre public religieux local .
Ceci dit :
Le DIP marocain pose deux catégories de rattachement selon qu’il s’agisse de :
* Statut personnel
* de nationalité,
en tenant bien entendu compte de l’ordre public.
Le juge saisi, détermine d’abord :
– la loi applicable
– ensuite la règle de rattachement, surtout en matières de :
- successions
- testaments : l’article 992, du code civil hollandais, si question de fond, NUL le testament doit être NOTARIE Français, Testament : Olographe : Locus régi actum
Forme : est valable
- Mariage : greque épouse une française, la Loi
grec exige la célébration religieuse orthodoxe,
conflit de qualification : fond : mariage est
N U L forme : mariage valable